Témoignage. « La servitude n’a pas disparu, mais elle prend plusieurs formes »

Samedi 11 mai 2024, un jour après la Journée commémorative de l’esclavage et de son abolition, la médiathèque de Gourin (Morbihan) accueillait Max Relouzat, président de l’association Mémoires des esclavages, venu échanger avec le public sur son expérience de descendant d’esclave. Quimpérois d’origine martiniquaise, il n’a eu de cesse de lutter contre les intolérances et les injustices.

Max Relouzat a remercié la bibliothécaire Claire Le Mené pour son invitation, en offrant à la médiathèque un modèle réduit de sa statue emblématique. | OUEST-FRANCE

« Je suis arrivé à Paris en 1965 où j’ai connu la misère et le racisme, avec la fin de la guerre d’Algérie. Ce n’était pas simple de trouver un logement », confie d’emblée Max Relouzat.

« J’ai eu la chance de rencontrer une Bretonne, mon épouse depuis 56 ans. Nous sommes partis pour cinq ans en Martinique, où nous avons aussi connu le racisme, qui a plusieurs visages. On me demandait pourquoi j’avais épousé une blanche ? « …

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En conférence à Gourin, Max Relouzat mène un combat contre l’injustice et l’esclavage

Breton d’origine martiniquaise et « enfant du monde », Max Relouzat était à la médiathèque de Gourin, samedi 11 mai 2024, pour donner une conférence sur l’esclavage et le devoir de mémoire.

À l’occasion de la Journée commémorative de l’esclavage et de son abolition, la médiathèque de Gourin recevait, le lendemain, samedi 11 mai 2024, Max Relouzat, président de l’association Mémoires des esclavages, pour donner une conférence sur l’esclavage.

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